lundi 30 septembre 2013

A la fin du deuxième jour...

A la fin du deuxième jour, après des périodes de vents faibles et de recrudescence, nous  avons décidé de mettre le moteur en marche mais voilà qu'une panne d'électricité nous en a empêchés. Pas moyen, sans courant de mettre le moteur en marche! Comme nous l'avons constaté plus tard, à Gijon c'était une panne toute bête : le coupe batterie s'était débranché ! On a cherché partout sauf là !
En attendant, mes équipiers ont voulu lâcher le 2ème ris mais sans s'apercevoir que la bosse de ris n'était pas lâchée et , à forcer sur le winch, ils ont réussi à déchirer la grande voile depuis la chute jusqu'au guindant.
Nous n'avions donc plus que le génois pour nous faire arriver à la côte mais on était au près bon plein et Manapany avançait toujours, moins vite peut-être mais il avançait.Il restait 44 milles , 10 à 12 heures...
Et puis le vent est tombé et la nuit également , il y avait une bonne houle mais la mer était plate, sans clapot .

dimanche 29 septembre 2013

mercredi 25 septembre 2013

remettre à l'endroit

l'avant dernier post doit venir en dernier !Je me suis encore mélangé les pinceaux !

mardi 24 septembre 2013

Gijon

On y est allé à Gijon, et même que cela n'a pas été de tout repos.
Nous étions 4 a bord de Manapany et nous sommes partis le 12 septembre au lieu du 10.
Comme toujours il fallait choisir et partir sans tenir compte des impératifs de temps mais simplement en se basant sur les fenêtres possible de météo.
Elle n'était pas mauvaise cette météo si cela  n'avait été que d'aller à Lorient ou au Crouesty, ce que j'appellerais des navigations intérieures ou plutôt locales. Il y avait deux barettes sur les vents annoncés soit 20 noeuds de vent mais c'était dans le golfe de Gascogne et , à cet endroit il valait mieux  compter sur une demi- barette de plus et la mer qui va avec...
Un ris dans la Grande voile et trois tours de rouleau sur le Gênois et pourtant nous filions comme si on était en course, 6 à 7 noeuds , une houle de 3 mètres .
Nous avons pris des quarts de deux heures en équipe de deux, J'ai pris le premier quart avec Gurvan qui n'avait jamais navigué de nuit mais qui, toutefois, était un bon marin.

A 2 heures du matin nous avions parcouru 50 milles et nous filions au largue à 5 noeuds.
A 8 heures nous avions parcouru 80 milles et le vent se maintenait toujours ...le jour était levé