samedi 23 avril 2016

photos de mon échange standard

Non ce n'est pas la goélette ci dessous qui a fait l'objet de l'échange standard, et ce, malgré mon envie de le faire, il s'agit plutôt du petit moteur électrique qui me booste dans les chemins de Lanzarote.

mercredi 20 avril 2016

la bicicleta olala

Ca y est, Arnold vient de me monter la bicicleta electrica ! Elle marche du feu de Dieu et votre ami Charles pourra, désormais , arpenter les chemins vallonnés de Lanzarote.
Je suis particulièrement content car avec les alizés dans le pif ça ne le fait pas même à toute petite vitesse.Il faut dire que le vieux cachalot a déjà écopé de pas mal de harpons dans les bottes. Photos de la bestiole demain quand il sera nettoyé !

dimanche 17 avril 2016

photos des volcans


ben voilà !

Rentrer ...oui mais ...

Evidemment que c'est sous conditions !Je ne veux absolument pas aller au Portugal en ayant des vents contraires et en marchant au moteur pendant cinq jours ! En outre, comment déterminer mes équipiers éventuels à risquer l'attente des vents favorables une fois arrivés à Lanzarote ? Ok s'ils sont d'accord qu'au lieu de monter vers le nord on parte un petit peu à l'ouest , OK !
Et puis, des équipiers, il faudrait en trouver malgré que je me sois affilié sur" Hisse et oh" pour avoir mon annonce de recherche d'équipiers en bonne place et elle est en bonne place .

Mon vélo électrique va avoir sa nouvelle batterie et même un moteur plus puissant. Je l'ai commandé à Valladolid chez Ciclotek ; cela va me coûter pas loin de 600 € mais c'est ma liberté de circuler qui est en jeu, donc... En fait, il est arrivé et j'en disposerai lundi.

Autre fait notoire, Arnold, le liégeois de Antinéa va  me refiler les photos de notre voyage à Cienfuegos, le pays des volcans. Comme il en a fait plus que moi, je vous en choisirai des belles.

Troisième chose, j'ai pu régler mon taux INR, à force d'analyses et il s'agit bien du changement de régime alimentaire qui m'a joué ces tours.
En outre et ça ce n'est pas la bonne nouvelle, inquiété par une sorte de prurit ( du vieillard ? ), je me suis rendu à Valterra,pour m'entendre déclarer par le toubib que je faisais une dermatophytose, sorte de champignon qui a la mauvaise habitude de se placer dans des endroits chauds et humides et donc à l'intérieur de mes cuisses. Crénom, j'ai même pensé que j'avais des bestioles !
A faire suivre par votre médecin de famille m'a -t-il dit en anglais ,; il m'a prescrit une pommade à masser toutes les huit heures, du Clotrimazol. Il paraît que cela risque d'être long !

mercredi 13 avril 2016

Retour sur le continent ( non, pas l'Africain, l'autre )

Appel du large !
C'est à cause des hirondelles ? Peut-être mais comme le dirait Cyrano j'ai des fourmis dans mes voiles!
Le vent a tourné, là et se met dans la bonne direction et je sens que je vais aller tâter de la haute mer pour me rendre, peut-être, en Algarve.
Cela pourrait se passer fin avril, début mai.
Je cherche des équipiers pour m' aider si toutefois ils admettent de se risquer avec un vieux cachalot !
Alors ?

mardi 5 avril 2016

Cienfuegos ( les cent feux)

J'ai vu l'enfer de près, de très près .
Nous sommes partis avec la voiture louée par Arnold et Martine pour deux fois rien ( 60 €) pour 5 jours!
Arnold et Martine, je les ai rencontrés à La Graciosa, ils sont venus à bord d'un petit bateau comme Manapany et dont le nom est Antinéa. A entendre l'accent , j'ai su très vite que j'avais affaire à des Liégeois; Antinéa parce qu'ils sont originaires d'Anthisne; oufti valet !
Ils avaient enplus, àbord deux invitées de leur région qui étaient là pour deux semaines .
Et donc nous sommes arrivés dans le parc national de Timanfaya là où se trouve la montana del fuego. Impressionants décors de lave à perte de vue, et, comme nous avions payé une entrée de 8 € chacun, nous eûmes droit à un parcours d'une grosse demi-heure dans un car affrêté pour cela et qui allait de précipice en précipice, même moi, et ce n'est pas peu dire, je ne me sentais pas trop à mon aise.
Après cette mini randonnée , nous nous sommes retrouvés au restaurant mis en place par César Manrique et qui est littéralement assis sur le volcan; ce n'est pas difficile, le feu se trouvait sous nos pieds, à deux mètres. Même qu'il y avait un barbecue permanent qui te délivrait une chaleur très importante, de l'équivalent d'un trou à méchoui ! Un préposé était là pour jeter des branchages qui s'enflammaient aussitôt. Un autre jetait un seau d'eau dans un puit, et, aussitôt, un geyser de vapeur jaillissait comme un coup de canon. J'ai fait des tas de photos mais mon appareil a déconné et elles sont toutes floues comme si le  diable avait voulu me les voiler mes photos ! Je pas compris !( en petit nègre dans le texte !) Magnifique souvenir, merci Arnold, merci Martine !