A la fin du deuxième jour, après des périodes de vents faibles et de recrudescence, nous avons décidé de mettre le moteur en marche mais voilà qu'une panne d'électricité nous en a empêchés. Pas moyen, sans courant de mettre le moteur en marche! Comme nous l'avons constaté plus tard, à Gijon c'était une panne toute bête : le coupe batterie s'était débranché ! On a cherché partout sauf là !
En attendant, mes équipiers ont voulu lâcher le 2ème ris mais sans s'apercevoir que la bosse de ris n'était pas lâchée et , à forcer sur le winch, ils ont réussi à déchirer la grande voile depuis la chute jusqu'au guindant.
Nous n'avions donc plus que le génois pour nous faire arriver à la côte mais on était au près bon plein et Manapany avançait toujours, moins vite peut-être mais il avançait.Il restait 44 milles , 10 à 12 heures...
Et puis le vent est tombé et la nuit également , il y avait une bonne houle mais la mer était plate, sans clapot .
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