Quand nous sommes arrivés à Safi, j'étais dans la dubitation ( en français dans le texte ) dans le doute, plutôt,car, un peu fatigué, je n'avais pas envie de prendre une deuxième nuit dans la foulée; d'un autre côté, sachant qu'il ne restait que 30 à 40 litres de gasoil, je ne me sentais pas sûr de mon affaire. J'avais encore sur la patate le double coup de la pompe à eau de mer et de cette durite qui avait lâché; en conséquence je voulais pouvoir me retourner et être plus rasséréné!
Nous avons donc commencé par appeler la capitainerie du port et, chose remarquable, cette fois on nous a répondu, pratiquement pour nous dire de passer notre chemin car le port était un port minéralier non accessible aux bateaux de plaisance; oui, ok ai-je répondu mais nous avons un petit problème technique et nous ne pouvons aller directement sur Essaouira.
On y est resté 2 heures, le temps de refaire un plein de gasoil.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire